jeudi 29 avril 2010
mardi 27 avril 2010
De retour...
Chers lecteurs,
Je suis parti un peu précipitamment en vacances dans le Tamil Nadu la semaine dernière, et ai a faire face a pas mal de logistique ici a Delhi.
Mais flagrant Delhi est de retour. Avec pleins de photos du Sud de l'Inde (encore a trier...)
Je suis parti un peu précipitamment en vacances dans le Tamil Nadu la semaine dernière, et ai a faire face a pas mal de logistique ici a Delhi.
Mais flagrant Delhi est de retour. Avec pleins de photos du Sud de l'Inde (encore a trier...)
jeudi 15 avril 2010
mardi 13 avril 2010
Moutarde d'UP
L'Inde est connue pour ces couleurs et ces épices. La moutarde est abondamment cultivée et utilisée dans la cuisine. Pas comme nous en émulsion, mais en graine.
En tout cas, du jaune, une autre couleur de l'Inde...
En tout cas, du jaune, une autre couleur de l'Inde...
vendredi 9 avril 2010
Faut-il visiter les ecoles?
C'est une question d'éthique. Ou de valeurs.
Il est d'usage que les guides touristiques proposent dans leur *tour* des visites d'écoles aux touristes. Ça donne une occasion aux occidentaux de voir - et de photographier - des enfants de près.
On se l'imagine difficilement de façon symétrique. Des touristes en France visiter des classes avec nos enfants.
J'évite donc les visites d'écoles ici, en Inde. Parce que je ne souhaite pas que mes enfants ne soient dérangés pendant la classe - c'est peut-être culturel.
J'évite mais je m'autorise quelques exceptions. Typiquement lorsque je suis invité par un enseignant. L'expérience peut être intéressante si on prend le temps de se présenter aux enfants, et si on leur explique un peu d'où l'on vient, ce que l'on fait, etc... Bref si on peut créer une situation d'échange. Avec mon Hindi approximatif, c'est un peu difficile. Ou alors ca fait rire. Si non, les enseignants peuvent traduire.
Il y a deux mois, dans un village perdu au fond de l'Uttar Pradesh, je me suis fait alpaguer par un enseignant local pour aller discuter (et photographier, j'avoue) avec les enfants de l'école. Un bon souvenir.
Il est d'usage que les guides touristiques proposent dans leur *tour* des visites d'écoles aux touristes. Ça donne une occasion aux occidentaux de voir - et de photographier - des enfants de près.
On se l'imagine difficilement de façon symétrique. Des touristes en France visiter des classes avec nos enfants.
J'évite donc les visites d'écoles ici, en Inde. Parce que je ne souhaite pas que mes enfants ne soient dérangés pendant la classe - c'est peut-être culturel.
J'évite mais je m'autorise quelques exceptions. Typiquement lorsque je suis invité par un enseignant. L'expérience peut être intéressante si on prend le temps de se présenter aux enfants, et si on leur explique un peu d'où l'on vient, ce que l'on fait, etc... Bref si on peut créer une situation d'échange. Avec mon Hindi approximatif, c'est un peu difficile. Ou alors ca fait rire. Si non, les enseignants peuvent traduire.
Il y a deux mois, dans un village perdu au fond de l'Uttar Pradesh, je me suis fait alpaguer par un enseignant local pour aller discuter (et photographier, j'avoue) avec les enfants de l'école. Un bon souvenir.
jeudi 8 avril 2010
Liberalisme social (ou l'inverse)
Nous ne comprenons pas toujours les Indiens.
C'est réciproque. Notamment au travail. Un collègue me le faisait récemment remarquer.
Voici une dimension que je ne suis pas le seul à avoir observé.
Nous nous faisons taxer de libéralisme. Nos pratiques de ressources humaines, pas forcément basées sur des eusses et coutumes locales, mais souvent pratiques et pragmatiques - paraissent souvent surprenantes - osées.
Nous apparaissons aussi, parfois, comme prêtant trop d'attention aux dimensions sociales, prenant trop en compte les conséquences personnelles de certaines décisions professionnelles.
C'est intéressant. De nombreux Français passent ici, à la fois (mais dépendant des jours) comme trop social et trop libéral. Imaginez les incompréhensions! Nous sommes certainement vu comme un peu instables - au moins comme peu prévisibles.
Je ne pense pas que l'on puisse affirmer que les uns ou les autres soient plus ou moins libéraux ou sociaux. Cela dépend des individus plus que du pays d'origine. Mais une chose est sure: les valeurs sur lesquelles nous forgeons nos opinions et prenons nos décisions sont différentes. D'un coté, l'histoire est prépondérante, l'ordre des choses doit être respecté, et l'on doit solidarité à ses semblables. De l'autre, c'est sur le fond la même chose - mais on donne une dimension différente à chaque paramètre. Une histoire différente (opposée?), un ordre des choses basé sur des fondamentaux différents, une définition différente des ses "semblables". Idéalement, il faut prendre en compte ces différences - sans les juger - pour assurer une seine et efficace collaboration. C'est possible. Si. Sans renier ses propres valeurs. Bon courage!
C'est réciproque. Notamment au travail. Un collègue me le faisait récemment remarquer.
Voici une dimension que je ne suis pas le seul à avoir observé.
Nous nous faisons taxer de libéralisme. Nos pratiques de ressources humaines, pas forcément basées sur des eusses et coutumes locales, mais souvent pratiques et pragmatiques - paraissent souvent surprenantes - osées.
Nous apparaissons aussi, parfois, comme prêtant trop d'attention aux dimensions sociales, prenant trop en compte les conséquences personnelles de certaines décisions professionnelles.
C'est intéressant. De nombreux Français passent ici, à la fois (mais dépendant des jours) comme trop social et trop libéral. Imaginez les incompréhensions! Nous sommes certainement vu comme un peu instables - au moins comme peu prévisibles.
Je ne pense pas que l'on puisse affirmer que les uns ou les autres soient plus ou moins libéraux ou sociaux. Cela dépend des individus plus que du pays d'origine. Mais une chose est sure: les valeurs sur lesquelles nous forgeons nos opinions et prenons nos décisions sont différentes. D'un coté, l'histoire est prépondérante, l'ordre des choses doit être respecté, et l'on doit solidarité à ses semblables. De l'autre, c'est sur le fond la même chose - mais on donne une dimension différente à chaque paramètre. Une histoire différente (opposée?), un ordre des choses basé sur des fondamentaux différents, une définition différente des ses "semblables". Idéalement, il faut prendre en compte ces différences - sans les juger - pour assurer une seine et efficace collaboration. C'est possible. Si. Sans renier ses propres valeurs. Bon courage!
mercredi 7 avril 2010
Hommage a Raghubir Singh
Vous connaissez peut-être Raghubir Singh. C'est un photographe Indien, pionnier en son temps de la photographie couleur. Cela fait plus de 10 ans qu'il nous a quitte. Son œuvre la plus connue - A Way to India - est un best-seller en Inde et ailleurs.
Aujourd'hui, je vous propose une photo hommage a Raghubir Singh.
Aujourd'hui, je vous propose une photo hommage a Raghubir Singh.
dimanche 4 avril 2010
Le chocolat, le rouge et le vert
Je viens d'acheter mon pain dominical. Il y a trois ans, mon boulanger avait tenté quelques chocolats pour Pacques, et avait eu un certain succès. Il y a deux ans et l'an dernier, il prenait les commandes pour l'occasion. Cette année, il a des pleins rayons d'œufs, aux tailles et couleurs variées a l'image du pays. Il propose aussi des "hot cross buns" qui d'après wikipedia (!) est une spécialité britannique.
Pas de photos d'œufs aujourd'hui, mais de piments (chili ou mirch in hindi) du marche local...
Pas de photos d'œufs aujourd'hui, mais de piments (chili ou mirch in hindi) du marche local...
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vendredi 2 avril 2010
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